Germain, Jean2010-04-122010-04-122009Proceedings of the 23rd International Congress of Onomastic Sciences978-1-55014-521-2http://hdl.handle.net/10315/3979La Belgique se partage entre trois régions (flamande, wallonne et bruxelloise) et entre trois communautés distinctes (de langue française, néerlandaise et allemande). Seule la Région bruxelloise est officiellement bilingue; d’autres zones sont dites «à facilités». Devenue un état fédéral, avec de plus en plus de compétences transférées aux régions et aux communautés, la Belgique est confrontée à une gestion toponymique parfois chaotique, souvent interpellante pour les étrangers. S’y affrontent le droit du sol et le droit des gens. En toponymie, c’est le droit du sol qui l’emporte, ce qui entraîne la primauté des exonymes (généralement très anciens) dans certains contextes, particulièrement dans la signalisation routière. Mais sont-ce des exonymes? Une politique plus souple ne devrait-elle pas s’appliquer dans le respect de l’usager, pris au piège des revendications identitaires.frThe following articles are © 2009 with the individual authors. They are made available free of charge from this page as a service to the community under the terms of the Creative Commons Attribution-Non Commercial-No Derivative Works license version 3.0. For full details go to http://creativecommons.org.licenses/ny-nd.3.0Exonymes dans le BelgiqueToponyms in BelgiumExonymsFaut-il avoir peur des exonymes … dans son propre pays? Le cas «surréaliste» de la BelgiqueSession PaperArticle