Regan, Vera2009-02-102009-02-102002AILE; 17 http://aile.revues.org/sommaire1053.html1243-969Xhttp://hdl.handle.net/10315/2517Le problème du rapport entre le locuteur individuel et le groupe a été étudié par les chercheurs variationnistes. Ceux-ci ont découvert à propos des locuteurs en langue première, que les tendances générales de la communauté linguistique se répètent chez les individus. Même si le taux d'usage d'une variante varie, par exemple, entre les individus, les tendances générales restent les mêmes. La question toutefois du rapport entre les locuteurs individuels l2 et le groupe a jusqu'ici été peu traitée en acquisition des langues secondes. Cet article aborde ce problème en rapport avec la compétence sociolinguistique. Les données sont issues d'une étude longitudinale de cinq apprenants hiberno-anglais avancés de l'anglais l2 dans différents contextes d'acquisition. Une analyse varbrul a été effectuée sur des données de trois étapes de développement, comprenant un séjour passé dans la communauté native. Les résultats montrent les mêmes tendances dans le groupe et les individus. Il paraît qu'en dépit de la variation individuelle qui fait partie intégrante de l'acquisition des langues secondes, le rapport entre le groupe et l'individu se maintient, tout comme pour la langue première.frFrenchFrench as a Second LanguageSecond Language VariationIrelandLe contexte d' acquisition : la variation du groupe et de l' individuArticle